03/12/19

Après avoir vu le côté brésilien des chutes, nous allons aujourd’hui les visiter depuis le point de vue argentin. Le parc est bien plus vaste ici, la densité de visiteurs est donc beaucoup plus faible, ce qui rend la balade plus agréable. Il y a trois sentiers : le passage inférieur, le passage supérieur et le point de vue sur la Garganta del Diablo.

Les sentiers sont relativement longs pour atteindre les différents points de vue des chutes ce qui nous permet d’apprécier la faune locale (pas toujours rassurante) lorsque nous nous promenons. Les coatis ont l’air mignon comme ça mais ils peuvent devenir très agressifs si vous avez le malheur de sortir votre sandwich devant eux. Il y a d’ailleurs des cages au sein du parc où vous pourrez les déguster en toute sécurité (les sandwichs, pas les coatis).

Nous commençons par le passage inférieur, long de 1,7km, qui est le plus spectaculaire selon nous. Il commence avec de superbes vues panoramiques et se termine au pieds des chutes. On les trouve encore plus impressionnantes vues d’ici.

Ce qui nous étonne ici c’est la densité de la végétation, qui pousse en abondance au milieu des cascades malgré la puissance de celles-ci.

La petite brume rafraîchissante est la bienvenue…

Nous nous rendons ensuite sur le passage supérieur où, comme son nom l’indique, nous longeons le haut des chutes sur des passerelles pendant 650 m.

Nous avons ici une vue plongeante depuis le haut des cascades.

Le dernier sentier est celui qui mène à la Garganta del Diablo, cette fois on va s’en approcher au plus près ! Pour y aller on prend un petit train à travers la forêt, on guette mais on ne voit pas de jaguars…

Après le train, il nous faut une vingtaine de minutes de marche sur des passerelles qui traverse le fleuve Paraná (oui ici le fleuve semble être un lac immense), avant d’arriver à destination.

Et puis on arrive à la gorge…

Quel spectacle ! (et quelle douche !). On prend nos précautions en protégeant l’appareil photo avec un sac plastique parce qu’en 2 minutes on est complètement trempés.

Le débit est tel qu’on ne voit même pas le bas des chutes. Là encore on est impressionné par la force de la nature.

Nouveau petit tour dans le train avant de reprendre le bus de retour sous des trombes d’eau, on l’a échappé belle !

 

04/12/19

Journée off dans notre logement, piscine, devoirs, câlins et jeux avec Nicol.

 

 

05/11/19

Les enfants n’étant jamais rassasiés de découvrir la faune locale, nous allons visiter la réserve d’animaux blessés Güirá Oga (la maison des oiseaux en langue guaraní).

A l’accueil nous sommes conduits en train-tracteur aux différents abris et volières en plein cœur de la jungle.

Le centre recueille et soigne des animaux blessés et les réintroduit dans la nature quand cela est possible. Il accueille aussi des animaux domestiqués abandonnés par leurs propriétaires (en général des animaux sauvages recueillis bébés et dont les propriétaires n’arrivent plus à s’occuper).

Le soir nous retrouvons avec plaisir Constant et Coralie, ainsi que son père et sa sœur, pour dîner. C’est notre dernière soirée à Puerto Iguazú, demain on décolle pour Buenos Aires, où nous avons prévu de nous retrouver aussi.

 

06/12/19

4h avant le départ on reçoit un message de la compagnie aérienne Latam nous annonçant que le vol est annulé (on apprendra plus tard que c’est à cause d’une grève du personnel). On réussit à le reporter 2 jours plus tard et à annuler notre hôtel de Buenos Aires. Nous pouvons rester une nuit de plus dans notre hébergement, mais demain il faudra en changer.

La vie est dure…

 

07/12/19

Avec notre nouvel appartement, on n’y perd pas au change…

Après la frayeur d’hier où Margot est descendue dans la piscine depuis le toboggan sans ses bouées, elle a décidé d’apprendre à nager avec Jeanne. Elle devait être prête car en 5 minutes elle était comme un poisson dans l’eau, ou presque.

Bravo Margot !